Le manoir se dressait, assujettissant, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les sentiers envahies par les ronces, une structure de cristal et métallique résistait encore au saisons : une serre oubliée, dissimulée coccyxes un mur de végétation sauvage. Julien, https://ricardowsjyl.losblogos.com/32910572/la-vie-figée