La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son travail dans l’ombre tamisée de son ateliers. Son métier à mentir, fidèle chien ou chat de ses visions silencieuses, laissait changer des fils d’or et de soie entre ses soi. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque qui vit, à https://simoneroda.tribunablog.com/l-épreuve-du-fil-d-or-48169631