Florence s’éveillait marqué par un ciel voilé de cendres. Le Grand Bûcher, consumé ensemble la nuit, laissait postérieur lui une sa place recouverte d’un manteau de suie. L’odeur persistante du feuille brûlé flottait encore dans l’air, abordant aux habitants la filtration imposée par l’Inquisition. Mais au-delà des cendres, une rumeur https://waylonerbir.izrablog.com/34591987/l-embrasement-du-destin