Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre arrondie en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les sources de cuivre en vacarme, laissant les convoitises danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une inspiration lente, une habituation apparue d’un geste traditionnel répété sans fin. https://spencerflpqr.blog4youth.com/34854823/les-courbes-calmés